Jeune Femme Dévergondée 02
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La naïve Bérengère est tombée dans le piège tendu par son vieux propriétaire. Elle doit maintenant négocier pour se sortir de ce mauvais pas, car le vieux pervers veut plus de la jeune femme.
Je tire mon caraco par-dessus ma tête. Mon minishort tombe par terre. D’un coup de pied, il va rejoindre le caraco dans un coin. Sans raison valable, mes tétons sont dressés. Douloureusement gonflés. Pourtant, je ne ressens vraiment aucune excitation. Machinalement, je les frotte. Je fais un pas pour être au milieu de la pièce, je ferme les yeux et je dis “je suis nue”, assez fort pour être entendue. J’ai oublié ce qu’il voulait que je dise, ou peut-être que c’est ma dernière révolte. J’entends la porte s’ouvrir, puis se refermer. Je peux entendre sa respiration rapide et rauque tandis qu’il s’approche.
«Bérengère, si belle Bérengère, tu es encore plus belle que ce que Sergueï avait imaginé. Ta peau est si blanche, si douce. Tes seins sont magnifiques. Et les tétons si durs, tendus de désir, rose sombre comme ceux d’un bouton de rose. Et tes cheveux roux, quel contraste avec ta peau si pâle, et cette magnifique tache de feu entre tes jambes, ma Bérengère adorée »
Il s’approche de moi. Je peux sentir sa puanteur envahir l’atmosphère. Je me demande s’il se lave parfois. Peut-être qu’avec les yeux fermés, mon odorat est plus sensible. Je tends ma main.
« Téléphone »
Il le pose dans ma main sans hésitation. Je le serre dans ma paume beaucoup plus fort que nécessaire, et même avec ce monstre qui contemple ma nudité, je ressens un peu de soulagement, une petite justification de mon choix que j’espère le bon.
Il est derrière moi maintenant. « Le cul de Bérengère, si rond, si ferme et délicieux »
« Tu as eu ce que tu voulais. Pars, maintenant, s’il te plaît »
« Oui, Sergueï voit et Sergueï veut »
Sans prévenir, je sens sa bouche édentée sur mon sein droit. Il suce avidement mon téton en m’entourant de ses bras musclés. J’ouvre immédiatement les yeux et la vision me fait hurler. Il est nu. Il a dû se déshabiller dès qu’il a quitté la chambre et il est revenu sans ses vêtements. Pas étonnant que la puanteur soit si forte.
Je savais que ses jambes étaient velues, mais je n’étais pas préparée à ce que je vois. Tout son corps est recouvert d’un pelage épais poivre et sel. Emmêlés, bouclés, épais, la fourrure nauséabonde de ce prédateur est extraordinaire. Et ce membre imposant qui s’érige et se dresse à mon contact ! Ce n’est pas un homme, c’est un satyre sorti d’un cauchemar extravagant.
J’essaye de le repousser, de l’obliger à lâcher mon sein, mais il est beaucoup trop fort. Même à son âge, il est resté étonnamment musclé. Les épaules, les bras, les pectoraux sont ceux d’un homme qui n’a fait que des travaux pénibles tout au long de sa vie. Avec sa pilosité délirante, on dirait un homme des bois, un orang-outan.
Je crie plus fort, à court d’idée pour me délivrer.
« Sergueï connaît tout le monde dans le bâtiment. Tu peux crier encore plus fort, si tu veux »
Il s’attaque à mon sein gauche. Sa langue rugueuse effleure d’avant en arrière mon mamelon si sensible. J’essaye encore de repousser sa tête avec mes mains, mais son cou de taureau est bien trop solide. J’essaye de le frapper, mais il se moque de mes coups qui ne l’affectent pas.
« Sergueï veut un baiser de la belle Bérengère »
Il approche son visage du mien. J’essaye de l’éviter en secouant la tête d’un côté à l’autre. Il appuie son visage contre le mien et lèche ma joue, puis ma bouche hermétiquement fermée. Je serre les dents et les lèvres en essayant de respirer par le nez.
Ces bras puissants écrasent mon corps frêle, le compriment en bloquant ma respiration. De peur me mourir étouffée, j’ouvre la bouche pour prendre une goulée d’air. Sa bouche putride recouvre la mienne. Sa langue explore et goûte, sonde ma cavité buccale jusque dans ma gorge.
Il s’empare de ma langue, puis de mes lèvres qu’il suce au sang pendant longtemps. La puanteur de sa bouche est incroyable. Mais la douleur causée par la violence de sa succion est atroce.
« Tu aimes Sergueï. Sergueï le sent »
« Lâche-moi. Brute épaisse. Lâche-moi »
« Ton corps me dit que Bérengère a besoin du puissant Sergueï au lieu du chétif Jason »
« Bérengère ne peut être satisfaite par le minuscule vermisseau de Jason »
« Tu es complètement cinglé ! »
Dans un ultime effort, je réussis à le repousser et à faire un pas en arrière. Malheureusement, en reculant, je heurte le lit avec mes mollets et je tombe dessus. Il s’avance au-dessus de moi et je le frappe de toutes mes forces, alternativement un pied après l’autre. Il attrape facilement mes chevilles dans ces mains usées. Il serre fort pour me prouver que toute résistance est inutile.
« Tu penses que Sergueï ne sait pas se battre? Beaucoup de combats. Sergueï toujours vainqueur. Sergueï est trop fort pour Bérengère »
Il me soulève en levant mes pieds. Il me soulève presque du lit. Seules mes épaules touchent trabzon escort encore.
« Les pieds de Bérengère sont tendres comme ceux d’un bébé »
Il aspire mon gros orteil dans sa bouche. Puis sa langue lèche entre chaque orteil en émettant des sons dégoûtants de plaisir. Puis il fait la même chose avec l’autre pied. J’essaye de ruer et de lui donner des coups de pied, mais sans succès.
Il se redresse et positionne la plante de mes pieds de chaque côté de son pénis en érection, les presse fermement, et commence à se branler avec. Mais ce jeu ne l’intéresse pas longtemps.
« Sergueï te rend la pareille maintenant. C’est correct? »
Je n’ai pas la moindre idée de ce qu’il veut dire.
En maintenant sa prise sur mes chevilles, il repousse mes jambes vers moi jusqu’à ce que mes pieds touchent le lit de chaque côté de ma tête. Cela soulève mes hanches du lit. Je sursaute en sentant sa langue rugueuse sur ma chatte. Maintenant, je comprends ce qu’il veut dire par rendre la pareille.
Hier, j’ai sucé sa bite, et il veut me rendre la pareille en suçant ma chatte. C’est un geste que Jason ne veut pas faire.
Sa langue investit mes replis intimes, puis il suce mes grandes lèvres avec expertise. Il me goûte en savourant mes chairs les plus délicates. Sa bouche s’aventure plus bas, couvre mon anus de baisers, avant de me sonder avec le bout de sa langue. Je réagis comme si j’avais reçu une décharge électrique.
« Bérengère aime. Sergueï peut le voir »
Sa bouche impudique m’embrasse, me lèche et me suce de mon anus jusqu’à mon clitoris. J’ai tellement sursauté quand il l’a touché la première fois, que c’est devenu un jeu pour lui. Il me taquine en le léchant et en le mordillant, tellement longtemps qu’il me rend folle.
Au début, j’essayais frénétiquement de m’éloigner de ses mauvaises intentions en gigotant dans tous les sens, mais à présent je m’offre à ses jeux avec délice. Mon corps, épuisé par la lutte pour me libérer, n’a plus de défense et se livre à mon bourreau. Mes hanches m’ont trahie en premier, en accompagnant par un balancement obscène les jeux de langue de Sergueï.
Puis c’est mon esprit qui devient confus, ma respiration haletante entrecoupée de gémissements aigus renseigne Sergueï, autant que mes hanches oscillant sous l’emprise de ses caresses. Ma vue se trouble, je ne suis plus qu’un corps affolé de désir.
Soudain, il s’arrête. J’ai un mélange de pensées et d’émotions. Que veut-il de moi?
Il pose mes talons sur ses épaules et entoure mon corps de ses bras musclés, enlaçant mes quatre membres dans son étreinte serrée. Comme si mon poids n’était qu’une plume, ce barbare me soulève du lit et retient là, suspendue contre son torse velu. Je reste pliée en deux, plaquée contre ce rustre qui me regarde avec un mépris souriant. Il se relève, se tient debout avec moi dans ses bras, et me regarde comme s’il attend que je réalise enfin ce qui va se passer.
« Pose-moi par terre. S’il te plaît, Sergueï, laisse-moi descendre »
« Sergueï obéit à Bérengère. Je te laisse descendre. Tu vois »
Il me laisse glisser lentement le long de son torse velu. Mon pubis frotte sur le renflement poilu de son ventre. De plus en plus bas jusqu’à ce que son membre dressé heurte l’entrée de ma chatte. Le vieux pervers est en train de me placer sur son pénis en érection, et ma position me rend impuissante à tenter quoi que ce soit pour me dégager.
« Ton ventre découvre la virilité de Sergueï pour la première fois. Admets que tu t’es déjà demandé quelles sont les sensations que peuvent procurer une si grosse bite en toi »
« Lâche-moi ! S’il te plaît, Sergueï, lâche-moi ! »
Une vague de honte s’ajoute à toutes mes émotions. Hier et la nuit dernière, mon esprit a bloqué sur ce scénario. Après avoir ressenti l’énormité de ce pénis monstrueux dans ma main et ma bouche, j’ai naturellement imaginé ce que ce pieu massif peut faire dans le vagin d’une femme.
Je secoue mes hanches aussi violemment que je le peux et je réussis à me déloger. Mais il est immensément fort et il dispose d’une patience immense. Il me soulève encore et encore et me repositionne à chaque fois sur son pieu en attente. Lentement, mes forces s’amenuisent.
Craignant qu’il se rate et qu’il me blesse, je glisse ma main entre nos corps pour saisir son pénis épais afin de l’aider à viser. Mais ce geste envoie un message qu’il interprète mal. Sergueï se moque.
« Bérengère veut Sergueï dans sa chatte. Bérengère aide Sergueï à viser juste »
Je secoue la tête négativement, mais je garde ma main sur son manche, juste au cas où. Après plusieurs tentatives, le gland volumineux se loge fermement entre mes lèvres recouvertes de salive. Il m’a positionnée à l’endroit exact où mes lèvres sont largement ouvertes pour accueillir sa grosse bite. Je crains de ressentir quelque chose d’agréable, et je ne veux surtout pas que cela arrive. Je ne veux pas que cela se produise, mais je continue à aider sa visée, tunceli escort incapable de l’empêcher ou de me contrôler.
« Non ! Sergueï, s’il te plaît ! Je vais bientôt me marier. Tu es trop gros… Tu vas me déchirer… Et me ruiner pour mon fiancé ! »
« Sergueï va te dilater la chatte et te ruiner pour tous les hommes chétifs comme ton fiancé. Tu t’en souviendras toujours et tu diras non, tu n’es pas comme Sergueï, tu n’as pas une grosse bite comme Sergueï ! »
Il laisse faire la gravité, et je glisse lentement le long de sa poutre. Je saisis fermement son pénis, visant prudemment. Il est légèrement décentré et je le guide avec ma main. Voilà.
« Aïe ! » Je hurle tandis que l’énorme gland fraye son chemin entre mes chairs. Centimètre après centimètre, agonisante, il m’empale sur son monstrueux pénis.
« Sergueï, s’il te plaît, c’est trop gros ! »
Je dis ce à quoi il s’attend maintenant, mais il le sait, il sait que je ne veux que ça. Pendant tout le temps de la pénétration, il me parle doucement de manière apaisante à l’oreille. Moitié en français et moitié en russe. Le tout sur un rythme hypnotique et plaisant.
« Sergueï à mi-chemin » Il commente. À mi-chemin? Déjà, j’ai l’impression qu’il explore un terrain que Jason n’a jamais conquis. Ma main empêche une pénétration plus profonde, alors je relâche son pénis et j’entoure ses épaules avec mon bras.
« Oui, Bérengère, étreint Sergueï dans tes bras. Bérengère veut Sergueï. »
Il rapproche sa bouche de la mienne, mais je détourne la tête. Les parois élastiques de mon vagin s’adaptent inévitablement à son imposant diamètre. La douleur s’atténue tandis que je m’empale sur toute la longueur de son pénis. La sueur recouvre nos deux corps, le mien à cause de l’épreuve, le sien à cause de l’effort. Je perds ma lucidité en perdant la notion des choses.
Je perds presque conscience. Je suis physiquement et mentalement épuisée. Mes derniers lambeaux de connaissance enregistrent que je suis maintenant allongée sur le lit. Mon nouveau lit, celui que je n’ai pas voulu “étrenner” avec Jason.
Insidieusement, Sergueï m’a placée au centre du lit. Mes bras et mes jambes libérés entourent le corps de mon tourmenteur triomphant. Ecrasée par sa masse, dans la position du missionnaire, je subis son assaut. C’est lui qui “étrenne” notre lit en baisant la jeune fiancée dévergondée.
« Belle femme. Si belle sous Sergueï. Nous formons un beau couple »
Ces mots me semblent lointains. Mais ils s’enregistrent dans mon esprit. Je ne peux qu’imaginer le tableau : un grand singe qui couvre une jeune princesse, et qui frotte sa vieille peau sur ma chair tendre. Un vieux pervers suant et soufflant qui baise une jeune nymphe.
Mon corps n’est pas sans vie. Aucune force, aucune volonté, mais je ressens tellement de stimulation dans ma chatte martyrisée. J’aurais aimé qu’il finisse vite, mais maintenant qu’il est entré totalement en moi, je ressens une pression folle sur mes organes. Une plénitude accompagnée d’un désir au bord de la délectation.
La douleur a disparut, ne reste que le plaisir. Emotionnellement, le pire est passé. Je vais devoir vivre avec la honte du péché de chair, mais ça on verra plus tard. Pour le moment, je savoure. Le salaud sait y faire avec les femmes. Lentement, profondément, la bête tisse sa toile, m’amenant là où il veut que j’aille.
« Nous commençons seulement. Sergueï très grand amant. Sergueï connaît les femmes »
Il se retire presque complètement, attend quelques secondes, puis m’envahit lentement jusqu’au fond. Soulevé sur ses coudes et ses genoux pour ne plus m’écraser, il épie mes réactions sur mon visage. Je ne peux pas cacher mon émotion tandis qu’il étire et remodèle ma vulve pour son usage. Bientôt, mes hanches se soulèvent, mes jambes remontent sur ses reins en s’écartant plus, tout mon corps accepte ma reddition en s’offrant à sa mâle puissance.
« Bérengère chérie. Ton corps me dit : bravo, Sergueï »
Les minutes passent. Je ne peux plus cacher mon plaisir. Mes hanches complices, ma respiration haletante, mes bras et mes jambes qui l’enserrent, sa bouche n’a plus besoin de chercher la mienne, c’est la mienne qui quémande d’être envahie par sa langue.
Chaque pénétration de sa grosse bite me remplit de plaisir. Chaque retrait laisse un vide affreux en moi. Maintenant parfaitement adaptée à la taille de son membre monstrueux, je sais que je ne connaîtrais plus jamais le plaisir avec Jason. Je vais devoir vivre avec ça.
La patience de Sergueï est singulière. Sergueï n’accélère son rythme que très peu. Mes jambes commencent à s’agiter, mes doigts de pied à se recroqueviller, mes mains caressent ses épaules et sa nuque, et il continue de me baiser sur le même rythme paisible. Du coup, sentant le grondement de l’orgasme approcher, c’est moi qui lui réclame plus de vigueur.
« Da, da » Murmure-t-il à mon oreille. Je sais que ça veut dire oui, mais je ne comprends pas pourquoi il le dit. uşak escort Mon cerveau est déconnecté, absorbé par la multitude de sensations qui proviennent de mon ventre.
Il prend mon téton dans sa bouche. Sans précipitation, sans agressivité, il le suce avec vigueur. Le gémissement rauque que j’émets le renseigne. Il passe à l’autre sein pour lui faire subir le même traitement. Mes mains frottent son dos et ses épaules. Mes hanches augmentent leur balancement.
« Bérengère aime Sergueï. Le corps de Bérengère aime Sergueï »
Confusément, je sais qu’il a raison. Les prémices de l’orgasme grondent au fond de mon ventre. L’orgasme approche, et je ne pourrai jamais me plaindre, je ne pourrai jamais dire que je n’ai pas aimé.
Sa bouche dans mon cou embrasse, mordille et suce, le tout avec passion. Sa bouche prend possession de la mienne, qui s’ouvre avec ferveur. Je suce sa langue comme j’ai sucé sa bite. L’odeur ne me dérange plus. Il fait de moi sa chose, son jouet docile.
Il accélère progressivement, n’essayant plus de retarder l’inévitable. Mes hanches suivent son rythme naturellement. Je veux jouir, tout mon corps veut jouir. Il y a trop longtemps que j’attends.
« Bérengère est prête. Tu te souviendras de Sergueï toujours. A chaque fois, Bérengère pensera à Sergueï quand elle voudra du plaisir. Un plaisir que seul Sergueï peut procurer. Personne d’autre, surtout pas un minuscule moucheron comme Jason » Sa voix est hypnotique, mais d’entendre le prénom de mon chéri réveille ma conscience.
« Non » Mais mes hanches suivent son rythme.
« Dis : baise-moi, Sergueï, baise-moi ! »
« Non, non et non ! » Une dernière révolte, une dernière once de respect pour moi-même, et pour Jason que je suis déterminée à conserver.
Plus de vitesse, plus de pression, la force de ses coups augmente, signifiant qu’il s’enfonce plus loin en moi. Pas de douleur supplémentaire, juste de nouvelles sensations de plaisir. C’est irréel. Toutes ces fois où Jason m’a fait l’amour sans me faire ressentir de plaisir. Il me maintient facilement en place, mais son souffle rauque dans mon oreille atteste de ses efforts.
Il me baise, et je m’abandonne. Plus d’espoir de résistance, plus de volonté, je suis sa chose, je lui appartiens. Mes jambes, mes bras le pressent contre moi. Son pubis claque sur mon clitoris. Ses grosses boules velues claquent contre ma zone anale.
« Dis mon nom. Dis Sergueï » ordonne-t-il.
« Non ! S’il te plaît, Sergueï, ne me demande pas ça, s’il te plaît » Je proteste, sans me rendre compte que je fais ce qu’il demande. Ce qui m’embarrasse le plus, c’est que j’aime cette demande
« Dis mon nom ! Crie Sergueï » Il insiste en augmentant la force de ses coups, ce qui me fait crier.
Il plonge sa langue profondément dans ma bouche ouverte. Nous engageons un combat passionnel avec nos langues qui s’affrontent. Je veux tout, tout et maintenant. Son pénis en moi, son corps qui écrase le mien, même sa langue dans ma bouche. Maintenant, j’accepte qu’il me possède.
Puis, comme dans un rêve, mon corps se crispe. Sensation merveilleuse. Une lame de fond qui surgit de nulle part, qui me soulève et qui m’emporte. Je hurle :
« SERGUEÏ ! OUI ! SERGUEÏ ! »
Je m’arc boute, mon dos se cambre, mes membres tremblent, un frisson titanesque me secoue.
« JE JOUIS ! SERGUEÏ ! JE JOUIS ! »
Le temps s’arrête pendant que je vibre et me tords de bonheur sous le vieux satyre. Un rugissement triomphant résonne dans la chambre pendant qu’il éjacule au fond de mon vagin. La sensation de ses pulsations jaillissant en moi me fait chavirer de bonheur. Je suis heureuse, comblée par ce mâle puissant et dominateur. C’est ma dernière pensée consciente.
Un ronflement bruyant me sort de ma léthargie. Sergueï est allongé à côté de moi, suant et ronflant. Je suis blottie amoureusement contre lui. Je le regarde et je me demande ce que je ressens pour lui. De la colère, mais aussi de la reconnaissance. Il y a surtout de la honte, celle de m’être laissé bernée si naïvement. Quelle idiote ! Il m’a eue jusqu’au trognon, ce salaud. Il me faudra du temps avant que tout cela ne s’assemble dans mon esprit.
« Merde, le temps ! »
Je regarde l’horloge. Jason va rentrer bientôt. Epuisés, nous sommes restés endormis trop longtemps. Entre mes jambes, une flaque de sperme qui commence à sécher. Je dois faire le ménage et reprendre un visage correct avant que Jason ne rentre. Je dois me dépêcher. Je secoue le mammifère puant vautré à côté de moi.
« Réveille-toi ! Merde, Sergueï, réveille-toi, on est à la bourre, Jason va arriver ! Bouge de là ! »
Il s’ébroue et ouvre les yeux. «Bérengère chérie ! » Heureusement qu’il se réveille facilement.
« Allez ! Lève-toi, et rentre chez toi. Jason ne peut pas nous trouver ainsi ! »
« Tu es pressée de retrouver ton microbe impuissant? »
« Tais-toi et fiche le camp. MAINTENANT ! »
« Attends ! Téléphone ! »
Il récupère son téléphone, allume l’écran, sélectionne la vidéo qu’il a prise de moi en train de lui faire une fellation. Avec son doigt épais, il touche l’icône de la corbeille.
« Voulez-vous supprimer? » Il appuie sur « Oui »
« Pouf ! » dit-il. « Sergueï ne ment jamais. Sergueï beaucoup de défauts, mais pas menteur »
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